lusieurs études de ce dixième tome de Tôzai sont consacrées à la Chine (à ses premières évangélisations, à certaines de ses traditions culturelles rapprochées de celle de Gerbert dans l'Occident médiéval, à deux de ses grands poètes aux origines du symbolisme). On y trouvera les rubriques habituelles de linguistique, de philologie et de littérature. Elles se caractérisent par leur diversité et concernent la traductologie et la quête de la protosophie (avec deux études complémentaires l'une de l'autre, une sur Boèce, une autre sur la " théorie du cône "), l'origine des Etrusques (examinée à partir d'une analyse génético-linguistique), la poésie des jardins, le proto-japonais (abordé à partir d'un thème double, le proto-japonais et les idéogrammes ; la grammaire des noms propres), la linguistique comparée, la grammaire française (la concurrence entre le passé simple et le passé composé dans l'histoire de la langue) et la philologie grecque (deux études sont proposées, l'une porte sur la littérature alexandrine, l'autre sur le lexique d'Aristophane).