Si vous aussi, vous ressentez l'envie d'échapper à l'hystérie de l'époque en faisant un pas de côté et en tournant poliment le dos au jeunisme ambiant, cette revue est faite pour vous. Elle vous fera replonger dans des oeuvres parfois oubliées, rencontrer des personnages hauts en couleur, mémoires encore vivaces de notre patrimoine culturel, vous permettant ainsi de satisfaire vos goûts de jeune (ou vieux) schnock. Ni rétrograde, ni passéiste. Schnock, donc. Tout bonnement Au sommaire : Les Bronzés : "Il a fait bip bip, on a fait meuh", grand dossier de 70 pages consacré au miracle du Splendid dont la popularité ne se dément pas quarante après. Corine recharge son téléphone, entretien avec Corine Marienneau, la rock'n'roll girl bassiste de Téléphone. Chaban-Delmas : "Il faudra que ça soit chic !", que reste-t-il du RDV raté entre ce personnage de roman et la France ? Lui, le magazine qui inventa l'homme moderne, retour sur l'histoire de la revue par ceux qui l'ont faite. Mini-Comtesse, maxi-bagnole, la première voiture sans permis est passée à la trappe. Schnock répare cette injustice. Aux mannequins de chez Catherine Harlé, hommage à celle qui a découvert Zouzou, Anna Karina, Nico, Amanda Lear. "Top 15 Pubs Rexona", ou une belle leçon de marketing "patriarcal". Mais aussi : Claude Seignolle, Niagara, Joël Séria…