Profane a un seul et unique dada : l'amateur, qu'il soit artiste ou collectionneur, novice ou pointu, fervent admirateur ou créateur à ses heures. Profane met en scène un héros récurrent plutôt qu'une discipline, et l'accueille en qualité d'invité permanent. Profane parle de celles et ceux qui aiment faire, qui aiment tout court, et qui trouvent un sens à la beauté du geste, loin des tribunes officielles.