"On peut espérer un lien direct et immédiat entre le livre et son futur lecteur comme on peut postuler, à l'instar d'Ivan Illich en 1971, une société sans école. Il semble pourtant qu'un livre dont ne parle pas un tiers, qu'il soit critique, enseignant, bibliothécaire, animateur, lecteur militant ou "ordinaire", n'existe pas et n'ait guère de chance d'atteindre le lecteur qu'il attend." (Francis Marcoin).
Revenant sur la question de la médiation, le CRILJ et ses invités questionnent, le temps d'un colloque, les pratiques et les dispositifs susceptibles d'ancrer durablement le goût des livres.