" Notre travail serait incomplet s'il n'était pas mis au service des familles de victimes...Notre priorité demeure le soutien apporté aux journalistes emprisonnés et aux médias en difficulté...A la répression frontale et sanguinaire, les ennemis de la presse substituent volontiers le harcèlement insidieux d'apparence légale, la pression économique, la protection de la vie privée, afin d'abuser l'opinion. ", Pierre Veilletet, Président de Reporters sans Frontières.