Les travaux publiés sont le résultat d'une recherche menée sur l'oeuvre d'Antoine Vitez à l'Institut d'études théâtrales de l'Université de Paris III-la Sorbonne Nouvelle et au Centre d'études théâtrales de l'Université catholique de Louvain. Ici, pour la première fois, des étudiants qui ne l'ont pas connu s'emploient à écrire sut lui et son théâtre. A partir de l'expérience de son spectacle testamentaire, LE SOULIER DE SATIN, de traductions, de documents, s'amorce le combat de la nouvelle génération avec l'oubli du théâtre et l'évanouissement progressif de ses artistes. A plusieurs titres, ce numéro trouve sa légitimité dans la démarche de Vitez lui-même, qui n'a jamais failli à la confiance faite aux jeunes. Ni aux vertus de l'école.