Heureux qui comme Ulysse a fait un beau voyage. Et plus que l'air marin la douceur angevine. C'est ainsi que lors d'une soirée où j'étais invité, un convive résuma du Bellay à la manière de Gainsbourg revisitant la Marseillaise. " Jusqu'en 1900, rien de tangible ne rappelait en Anjou le nom glorieux de du Bellay, rien si ce n'est à Angers la plaque d'émail d'une rue modeste et comment la société des artistes angevins se voua à la tâche de rendre à du Bellay, dans son Anjou, la place qui lui était due, et ce que furent les fêtes inoubliables de Liré avec bal populaire, feux d'artifice et jeux divers... "