Le corps ne vaut et ne vit que dans un mouvement tant externe (selon des relations d'échange) qu'interne (selon un rapport pulsionnel). Et ce mouvement est avant tout signifiant. Aussi est-il successivement abordé dans ce livre comme temporel, imagé et effacé. En cela le corps est bien le support de l'existence subjective. De là les liens du corps à ses mouvements sont rendus d'autant plus explicites qu'ils se rattachent de maniere interactive à la logique du signifiant. C'est pourquoi la structure du sujet est elle-même mouvement.