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" Moi je connais un saint, c'est Chapas de l'Arbresle! " dit un jour une personne dans le train qui reliait l'Arbresle à Lyon. Jean Chapas est né le 12 février 1863 à Lyon dans un milieu modeste. A l'âge de 7 ans, atteint d'une méningite, il fut reconnu mort par deux médecins à son chevet qui signèrent l'acte de décès. Il fut ramené à la vie par Maître Philippe. Celui-ci avait déjà guéri son père, et à sa mère qui, à l'époque, lui demandait combien elle devait pour la guérison de son mari, Monsieur Philippe lui avait répondu : " Tu ne me dois rien du tout, mais tu me donneras ton fils quand je te le demanderai. " C'est ainsi que Jean Chapas devint le disciple bien-aimé du maître. Jean Chapas mourut une seconde fois en 1899 de la fièvre typhoïde et fut également sauvé par son maître, toujours après que l'acte de décès ait été établi. Il disait de lui-même : " Je suis un mort en congés. " En 1894, Maître Philippe le présenta à ses malades au 35 rue Tête d'Or à Lyon et leur dit " Maintenant Monsieur Chapas est chargé de faire ce que je faisais autrefois... Nous sommes les pêcheurs venus pour pêcher ceux qui voudraient s'échapper " En 1895 il leur annonça que " de grands pouvoirs sont dès aujourd'hui donnés à Monsieur Chapas ". C'est ce qui se passa. Jean Chapas se mit à soigner, à guérir miraculeusement et à donner un enseignement dans la continuité de son cher Maître. Celui-ci avait dit en février 1903, deux ans avant sa mort : " Vous ne me verrez plus, je m'en vais où j'ai à faire. Je vous laisse Jean Chapas... Il prendra sur lui de vous accorder ces choses que moi-même je vous refuserais... " Le 2 septembre 1932, Monsieur Chapas était allé pêcher dans le Rhône. Au moment de plier les cannes, il s'effondra et en soirée rendit son dernier soupir. Maître Philippe lui avait dit : " Jean, quand tu partiras, tu auras juste le temps de prendre ton manteau et ta canne pour me suivre. "