Qu’est-ce qui pousse Sabine, petite élève de 5e, solitaire et rêveuse, à ne pas se rendre en classe, ce matin de printemps ? Pourquoi décide-t-elle... > Lire la suite
Plus d'un million de livres disponibles
Retrait gratuit en magasin
Livraison à domicile sous 24h/48h* * si livre disponible en stock, livraison payante
20,00 €
Expédié sous 3 à 6 jours
ou
À retirer gratuitement en magasin U entre le 8 novembre et le 15 novembre
Qu’est-ce qui pousse Sabine, petite élève de 5e, solitaire et rêveuse, à ne pas se rendre en classe, ce matin de printemps ? Pourquoi décide-t-elle ce jour-là de faire l’école buissonnière, et d’aller à la découverte d’un Paris qu’elle ne connaît pas très bien et qui l’a toujours fascinée ? Ce n’est pas seulement pour échapper au rendez-vous que la prof de français, excédée par son désintérêt, a fixé à sa mère. La fuite de Sabine parle de honte et d’incompréhension. Honte de sa mère, qu’elle sent ne pas correspondre à l’image qu’on se fait d’une mère attentive, soucieuse de la scolarité de son enfant ; mais aussi honte de son milieu social où la culture reste un mot opaque, presque hostile. La petite prend soudain conscience que ce monde du lycée lui est fermé, comme il l’a été aux siens. Mais, au cours de sa journée vagabonde, bien des choses vont changer pour elle. Le hasard d’une rencontre lui fera découvrir le trésor qu’elle porte en elle et qui ne demande qu’à être révélé. Sous les auspices de Victor Hugo, et plus largement de la poésie, Marie Sizun nous donne à voir la métamorphose d’une petite fille que tout condamnait à l’échec scolaire mais qu’un regard différent révèle à elle-même.
Marie Sizun a été enseignante de lettres classiques à Paris, en Allemagne ainsi qu’en Belgique. Elle a reçu le grand prix des lectrices de "Elle" et le prix des lecteurs du Télégramme pour son roman La Femme de l’Allemand.