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Avec son essai, Massimo Palma élabore une variation autour de cinq mots - travail, contrat, épopée, fête, responsabilité - pour penser les chansons du Velvet Underground. Cinq mots qui permettent d'aborder tout autant les textes de Lou Reed, les chansons du Velvet Underground, le son de l'excès créé à New York, à la fin des années 1960, Andy Warhol, mais aussi le néo-capitalisme, l'obscénité des sociétés néo-capitalistes, les marges, la drogue, les abus, le sadomasochisme. Massimo Palma reconstruit le contexte dans lequel les chansons du Velvet ont émergé, mais aussi, parce qu'il les écoute en philosophe, l'auteur nous invite surtout à interroger notre propre époque à travers les textes de Lou Reed. Dans Le son de l'excès, le Velvet croise Gilles Deleuze, Walter Benjamin, ou encore Alfred Döblin : autant de raisons de réécouter "Sunday Morning" ou "All Tomorrow's Parties" le livre en main !