Depuis la première mise en place d’une prothèse d’épaule en 1893 par J-E Pean, l’histoire des arthroplasties d’épaule a considérablement... > Lire la suite
Plus d'un million de livres disponibles
Retrait gratuit en magasin
Livraison à domicile sous 24h/48h* * si livre disponible en stock, livraison payante
15,00 €
Expédié sous 3 à 6 jours
ou
À retirer gratuitement en magasin U entre le 20 novembre et le 22 novembre
Depuis la première mise en place d’une prothèse d’épaule en 1893 par J-E Pean, l’histoire des arthroplasties d’épaule a considérablement évolué. Prothèses humérales simples puis prothèses totales en particulier sous l’impulsion de Ch Neer. Prothèses dites traumatique avec leur évolution propre en matières de design de la tige humérale, prothèses de resurfaçage et également les prothèses dites inversées dont les premières expériences furent très décevantes mais dont les nombreux modèles actuels sont beaucoup plus fiables depuis les travaux de P Grammont dont ils sont tous inspiré. En France, le nombre annuel de poses de prothèses d’épaule est de loin très inférieur à celui des autres prothèses articulaires (8 % du total des prothèses de hanche, source ATIH). Mais, si l’on compare la progression relative des implantations prothétiques entre 2006 et 2010, elle est 13 % pour les prothèses d’épaule et de 7 % pour les prothèses de hanche. Comme pour les autres articulations, qui dit essor des implantations dit augmentation de la proportion de reprises chirurgicales quelle qu’en soit la cause. Ceci est bien objectivé par la progression de 29 % du nombre des reprises de prothèse d’épaule, entre 2006 et 2010, contre 1 % pour les reprises de prothèses de hanche.