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Au lourd secret qui entoure le véritable rôle de la France et de son armée lors du génocide des Tutsi au Rwanda, Guillaume Ancel oppose la vérité de ses carnets de terrain, témoignage des missions auxquelles il a participé durant l'opération Turquoise. La fin du silence est aussi le récit du combat mené par cet ancien officier pour faire savoir ce qui s'est réellement passé durant cet été 1994 et "rendre hommage, dignement, aux centaines de milliers de victimes rwandaises que nous n'avons pas su empêcher." Officier de la Force d'action rapide, détaché au sein d'une unité de la Légion étrangère, le capitaine Ancel mène avec ses hommes des opérations d'extraction de personnes menacées. Sous couvert d'une opération humanitaire destinée à mettre fin aux massacres, cet officier comprend vite que la France soutient le gouvernement génocidaire rwandais dont elle a formé l'armée. Il décrit les errements de l'armée française, ballotée au gré de décisions politiques dont les motivations sont toujours tenues secrètes, les archives officielles restant inaccessibles. Ce témoignage dévoile également certains épisodes méconnus de cette opération "humanitaire" durant laquelle l'armée française a tué. Parfois pour défendre, parfois pour des raisons moins avouables.
50 jours en opération pendant le génocide des Tutsis, 25 ans d'interrogations et quelques fantômes... Le témoignage d'un officier sur l'intervention de la France au Rwanda en 1994.
Ancien lieutenant-colonel, saint-cyrien, Guillaume Ancel a rejoint en 2005 le monde des entreprises. Il est l'auteur de Vent glacial sur Sarajevo dans la collection Mémoires de guerre aux Belles Lettres (2017).