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D'une grande richesse, les différentes contributions présentées au cours de ce colloque présentent de René Cassin le visage du héraut des droits de l'homme, mais aussi de l'ancien combattant épris de justice pour toutes les victimes, et de l'éminent juriste, tout en révélant un esprit préoccupé par les avancées scientifiques de son époque. Elles dessinent ainsi, par la voix de ceux qui l'ont connu ou sont attachés à sa pensée, le portrait d'un être en prise avec son temps mais aussi avec le nôtre. Suivent deux contributions, issues des travaux de l'Association René-Cassin, qui dévoilent la personnalité de René Cassin et des aspects jusqu'à présent peu étudiés de son œuvre. La première est de la plume d'André Holleaux, conseiller d'État aujourd'hui décédé, qui sur autorisation exceptionnelle, avait accédé aux comptes rendus enregistrés des débats de l'Assemblée générale du Conseil d'État, présidée par René Cassin, du 22 novembre 1944 au 4 octobre 1960. C'est la première fois que ce matériau est porté à la connaissance du public. L'initiative d'une telle publication peut paraître déroger à la tradition de discrétion dont s'enorgueillit le Conseil d'Etat, mais fait apparaître au grand jour la marque que René Cassin a imprimée sur cette institution. La seconde contribution est due à Madame Hélène Berthoz, nièce de René Cassin, qui a accepté de rendre publique la correspondance échangée entre la mère de celui-ci, sa sœur Felice, sa femme, et son jeune frère, des années 1950 jusqu'aux derniers jours de René Cassin. Elle livre non seulement un témoignage de la vie familiale du prix Nobel de la paix, puisé dans ses propres mots, mais aussi les commentaires qu'il consacrait à la vie publique de son temps, dans un cadre privé, sans la censure imposée par son devoir de réserve.