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Dès qu'il s'agit de cinéma, de ce qu'on persiste à appeler " cinéma ", on croît que ce sont les idées qui ont de l'importance. Du côté de chez moi, là où j'habite, là où je pense, il n'en va pas de même. Les idées, connais pas. Les sentiments, oui. Les sentiments sont intelligents, ils ne se trompent jamais. Bête comme chou, mais c'est comme ça, on ne se refait pas. Ainsi s'exprime, au sujet de son livre, Louis Skorecki, cinéaste et journaliste à Libération, à qui l'on doit déjà Les violons ont toujours raison, paru en 2000 aux PUF dans la même collection. Le présent ouvrage réunit deux textes, Raoul Walsh et moi, écrit en avril-mai 2001, et Contre la nouvelle cinéphilie, daté de 1977-1978. Des fragments du premier sont parus dans Libération au cours du printemps 2001, alors que le second a été publié, il y a plus de vingt ans, dans Les Cahiers du cinéma.