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Pour une partie des militants écologistes, les actions légales et institutionnelles montreraient leurs limites, alors que les événements climatiques extrêmes s'accélèrent, et que le pouvoir politique est accusé de ne pas prendre les décisions nécessaires. Dès lors, se popularisent des modes d'action qui ont longtemps été réservés à des minorités. Sabotage, occupations et désobéissance civile font désormais partie intégrante des modes d'actions, et des discours appelant à l'insurrection se font plus visibles. Mais cette radicalisation ne fait pas consensus : des politiques et militants croient toujours à la possibilité de réformer le système, et défendent l'importance de s'investir dans les instances au niveau national, européen, ou dans les entreprises. Pour d'autres enfin, la radicalité écologique renvoie à des choix de vie : créer une entreprise qui participe à la transition écologique, prendre la tangente pour inventer d'autres manière d'être sur terre, ou s'installer au coeur du système économique pour le changer de l'intérieur. L'ambition de ce nouvel A Vif est de comprendre d'où provient cette écologie radicale, et de la mettre en débat. Les institutions ne peuvent-elles réellement plus rien pour préserver les conditions de vie sur terre ? Quelle est cette "écologie radicale" qui monte, quels sont ses objectifs et ses moyens ? Quelles autres radicalités écologiques, hors du champ politique, voient désormais le jour ?