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La mondialisation compte un certain nombre de belles re?alisations, mais nous les payons tre?s cher, avec un nombre de nuisances et d'absurdite?s qui impactent fortement nos vies, au point de mettre l'humanite? en danger, ce que confirment de plus en plus de scientifiques. pour e?viter ce de?sastre, nous devons quitter ce chemin de l'e?garement qui nous a conduits ici. pour cela, comme nous le conseillait Albert camus, nous devons "Transformer une pense?e pessimiste en action optimiste c'est le travail de la philosophie ". Ce nouveau chemin, instinctivement, est suivi par de plus en plus de femmes et d'hommes pour qui le sens de la vie est le bonheur. Ce bonheur, elles le trouveront plus aupre?s des entrepreneurs du sens que du syste?me destructeur et inique qui impacte notre e?poque. citoyens et entrepreneurs du sens se regroupent de diffe?rentes manie?res au sein d'une nouvelle classe sociale que j'appelle "La classe du sens". tous ont en commun le bon sens que descartes expliquait ainsi : " l'ide?e de bon sens est fondamentale : d'abord parce que ce bon sens est partage? par tous, ensuite parce qu'il peut e?tre sublime? en un langage en commun (songeons aux mathe?matiques), enfin, parce qu'il y a une sensorialite? commune, qui est un moyen d'acce?s aux phe?nome?nes, qui fonde son universalite?." Ici, le philosophe, avec le bon sens et son universalite?, nous parle a? la fois d'une fraternite? possible et d'un supple?ment d'a?me ne?cessaire pour construire une voie salvatrice.