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L'Américain Stephen Dobyns, auteur de romans noirs traduits dans le monde entier, passe au genre de la nouvelle - sur le mode grinçant. L'humour est là, mais la couleur reste résolument noire. Soit seize récits qui mettent en scène des personnages ordinaires saisis au moment précis où la vie les oblige à sortir de leurs gonds. Des pantins qui ne comprennent pas ce qu'il leur arrive, qui répondent de travers aux questions que leur pose brutalement l'existence, se conduisent comme des salauds ou comme des garces, comme des enfants dans le meilleur des cas - des enfants perdus à qui nul ne peut plus venir en aide... et leurs aventures ne nous font rire (plutôt jaune) que parce que l'auteur, moins méchant qu'il n'en a l'air, a résolu pour une fois de ne pas nous faire pleurer.
Sentiment de la presse anglo-saxonne
"Le modèle accompli de ce que doit être une nouvelle : soit l'art de bâtir une intrigue à seule. fin de vous déchirer le cœur " San Francisco Examiner.
" Sombres complots, écriture éblouissante, humour bien, froid : vous avez droit à tout. " Los Angeles Times.
" On n peut s'empêcher de rire, même si l'intention qui commande ici l'écriture n'est pas sans noblesse - et si le résultai souvent vous oblige à frôler l'horreur, l'ignominie, le désespoir " The Washington Post " Au-delà du simple plaisir qu'on y prend ; un art tout de lucidité, et bien moins simple qu'il y°paraît. " Times Literary Supplement
TIMls,S LITERAHI` .s'r PP1,H:111FNT
L'Américain Stephen Dobyns, auteur de romans noirs traduits dans le monde entier, passe au genre de la nouvelle sur le mode grinçant. L'humour est là, mais la couleur reste résolument noire. Soit seize récits qui mettent en scène des personnages ordinaires saisis au moment précis où la vie les oblige à sortir de leurs gonds. Des pantins qui ne comprennent pas ce qu'il leur arrive, qui répondent de travers aux questions qui leur pose brutalement l'existence, se conduisent comme des salauds ou comme des garces, comme des enfants dans le meilleur des cas des enfants perdus à qui nul ne peut plus venir en aide... et leurs aventures ne nous font rire (plutôt jaune) que parce que l'auteur, moins méchant qu'il n'en a l'air, a résolu pour une fois de ne pas nous faire pleurer.