Le nom de Berkeley (1685-1753) est étroitement associé dans l'histoire de la philosophie à l'idéalisme. Les Principes de la connaissance humaine (1710),... > Lire la suite
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Le nom de Berkeley (1685-1753) est étroitement associé dans l'histoire de la philosophie à l'idéalisme. Les Principes de la connaissance humaine (1710), oeuvre maîtresse du penseur irlandais, constituent le manifeste argumenté, mais aussi polémique, de cet immatérialisme idéaliste dont Berkeley ne cessa d'être le fervent défenseur. Il n'est pas d'autre réalité que celle véhiculée par les idées ; le monde n'a pas d'existence ailleurs que dans l'esprit. Tels sont les énoncés de l'idéalisme grâce auquel Berkeley entend ruiner le matérialisme, le scepticisme et l'athéisme. Ses cibles ont pour nom Descartes, Hobbes, Locke... Ecrits dans un style accessible, les Principes constituent une des oeuvres les plus fortes que le XVIIIe siècle britannique ait produites.
Le nom de Berkeley (1685-1753) est étroitement associé dans l'histoire de la philosophie à l'idéalisme. Les Principes de la connaissance humaine (1710), oeuvre maîtresse du penseur irlandais, constituent le manifeste argumenté, mais aussi polémique, de cet immatérialisme idéaliste dont Berkeley ne cessa d'être le fervent défenseur. Il n'est pas d'autre réalité que celle véhiculée par les idées ; le monde n'a pas d'existence ailleurs que dans l'esprit. Tels sont les énoncés de l'idéalisme grâce auquel Berkeley entend ruiner le matérialisme, le scepticisme et l'athéisme. Ses cibles ont pour nom Descartes, Hobbes, Locke... Ecrits dans un style accessible, les Principes constituent une des oeuvres les plus fortes que le XVIIIe siècle britannique ait produites.
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