Voilà treize ans qu'ils sont ensemble. Pourquoi le pronom "je" a-t-il disparu, corps et âme, de la langue de leurs couples ? Quand les bras grands ouverts... > Lire la suite
Plus d'un million de livres disponibles
Retrait gratuit en magasin
Livraison à domicile sous 24h/48h* * si livre disponible en stock, livraison payante
22,00 €
Expédié sous 3 à 6 jours
ou
À retirer gratuitement en magasin U à partir du 4 septembre
Voilà treize ans qu'ils sont ensemble. Pourquoi le pronom "je" a-t-il disparu, corps et âme, de la langue de leurs couples ? Quand les bras grands ouverts de la maternité se sont-ils refermés comme les dents d'un piège ? A Londres, dans une ville amoureusement parcourue et habitée, de l'élection de Barack Obama à la mort de Michael Jackson, deux couples se débattent avec leur histoire, le travail, la quarantaine, les illusions perdues, et leur statut d'émigrés de la deuxième génération devenus parents à leur tour. Ils ont cru à l'intégration, voilà qu'ils se désintègrent. Là-haut, sur sa colline de la rive sud, le phare du Crystal Palace veille sur eux. Doit-on, comme lui, accepter de voir les facettes et les façades de la vie tomber en mille morceaux pour qu'elle soit rebâtie ailleurs, en trois fois plus grand ? Avec brio, avec verve, avec un scalpel trempé dans un élixir de poésie, Diana Evans répond.
Troisième roman de Diana Evans, Ordinary People décrit, à travers deux couples quarantenaires les failles et les errances d'hommes et de femmes issus d'une classe moyenne auxquels le pouvoir d'achat en baisse offre peu de perspectives. L'auteure anglaise plonge le lecteur dans la vie intime et domestique de deux cocons familiaux au bord de la rupture, celui de Michael et Melissa, rencontrés il y a plus de dix ans, parents de deux enfants, et de Damian et Stéphanie, mariés depuis bientôt quinze ans, trois enfants. Que devient le couple face aux ambitions personnelles et professionnelles déçues ? Aux longs trajets pendulaires ? A l'argent qui manque toujours un peu ? Diana Evans se fait l'observatrice de la vie conjugale confrontée au capitalisme et à la crise, et décrit minutieusement la fragile architecture amoureuse.