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La dernière partie de l'oeuvre d'Hermann (von) Helmholtz (1821-1894) sur l'Optique physiologique s'intéresse aux perceptions visuelles et plus particulièrement à celles relatives aux formes et dimensions dans l'espace ; c'est dans ce cadre que l'auteur évalue les prédictions de l'approche nativiste et empiriste dans le domaine de la vision. Helmholtz a soutenu énergiquement une théorie empiriste des perceptions, résultats de l'expérience acquise. Ainsi, la perception du monde extérieur est le résultat d'expériences et de raisonnements inconscients et de conclusions logiques que nous déduisons des matériaux qui nous sont fournis par les sensations visuelles. Les prétendues illusions des sens ne sont que des raisonnements faux ou incomplets. Nous avons reproduit ici la troisième partie sur les perceptions de son Optique physiologique (1866), traduite et adaptée en français par Émile Javal en 1867. dont Helmholtz a contrôlé lui-même la traduction. Nous avons fait précéder ce texte d'un article d'Helmholtz (1869) qui résume cette partie de son livre.