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Les essais de Roger Gilbert-Lecomte, réunis pour la première fois en un seul volume, ont été répartis selon deux grandes divisions : 1) Révélation-Révolution 2) Retour à tout. La première partie contient tous les écrits de la période du Grand Jeu publiés dans des ouvrages ou des revues. On y trouve également des textes demeurés inédits : ceux qui étaient destinés au numéro 4 de la revue du groupe. La seconde partie est composée de fragments d'une oeuvre dans laquelle Roger Gilbert-Lecomte se proposait de remettre en cause les fondements de la pensée occidentale. Cette entreprise devait toucher, pour les brûler, tous les domaines de la connaissance. Plus que le but visé, ce sont les déchirures, les blessures du texte qui apparaissent ici à vif. Il n'y a plus qu'éclairs, discontinuité - la pensée même. Cette défaite de "l'oeuvre" au sens convenu du mot pourrait bien annoncer - après les Fragments de Novalis - le Livre à venir. Il a été, dans la plupart des cas, impossible de dater les inédits. Cette datation eût-elle été possible que n'en serait pas moins apparu un fait d'évidence : les textes sont frappés du sceau de l'intemporel. Ils nient le devenir au terme duquel ils s'inscrivent. En revanche, les trois conférences placées en annexe nous montrent un Roger Gilbert-Lecomte soucieux de situer Le Grand Jeu par rapport aux courants poétiques et philosophiques de son temps.
Les essais de Roger Gilbert-Lecomte, réunis pour la première fois en un seul volume, ont été répartis selon deux grandes divisions : 1) Révélation-Révolution 2) Retour à tout. La première partie contient tous les écrits de la période du Grand Jeu publiés dans des ouvrages ou des revues. On y trouve également des textes demeurés inédits : ceux qui étaient destinés au numéro 4 de la revue du groupe. La seconde partie est composée de fragments d'une oeuvre dans laquelle Roger Gilbert-Lecomte se proposait de remettre en cause les fondements de la pensée occidentale. Cette entreprise devait toucher, pour les brûler, tous les domaines de la connaissance. Plus que le but visé, ce sont les déchirures, les blessures du texte qui apparaissent ici à vif. Il n'y a plus qu'éclairs, discontinuité - la pensée même. Cette défaite de "l'oeuvre" au sens convenu du mot pourrait bien annoncer - après les Fragments de Novalis - le Livre à venir. Il a été, dans la plupart des cas, impossible de dater les inédits. Cette datation eût-elle été possible que n'en serait pas moins apparu un fait d'évidence : les textes sont frappés du sceau de l'intemporel. Ils nient le devenir au terme duquel ils s'inscrivent. En revanche, les trois conférences placées en annexe nous montrent un Roger Gilbert-Lecomte soucieux de situer Le Grand Jeu par rapport aux courants poétiques et philosophiques de son temps.