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La Bretagne est terre de fidélité chrétienne, mais aussi terre de rebelles : Chateaubriand, Lamennais, Jean Sulivan ou Xavier Grall l'ont illustrée en leur temps. C'est dans ce sillage que Jean-Pierre Bagot, engagé depuis des années dans le débat sur le langage de la foi et l'avenir du christianisme, la pédagogie biblique et l'ouverture de l'Eglise au monde, a l'audace de lancer au pape des appels fondés sur son expérience et sa réflexion pastorale.
Face aux pesanteurs d'un appareil ecclésiastique bridant la liberté et la créativité évangéliques, il se fait l'avocat d'une mutation profonde du catholicisme romain : que les responsables de l'Eglise renoncent enfin à certaines pratiques cyniques du pouvoir, à leur langage dogmatisant et moralisant qui accable et enferme les croyants au lieu de les libérer de leurs peurs, et osent enfin prendre le risque de parler de Jésus en termes d'homme.
Docteur en philosophie, polyglotte, grand voyageur, habitué à travailler avec des grandes instances internationales, mais en même temps homme de terrain, ce prêtre se veut avant tout pédagogue et " communicateur ". D'où l'extraordinaire variété de son œuvre littéraire, où il n'attribue pas moins d'importance à ses traductions - il est l'introducteur en France de Drewermann, mais aussi de Jyoti Sahi, peintre indien - ou à une présentation de la Bible pour les enfants qu'aux ouvrages plus prestigieux (missel Emmaüs, Bible de Jérusalem avec guide de lecture...) ou plus personnels (Le risque de la Bible, Dire Dieu enfin...).
Lancé par quelqu'un qui se veut simple carrefour dans l'Eglise, son appel rejoint aussi bien celui du cardinal Martini que celui des grands théologiens de notre époque.