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Moi, assassin (Relié)

Grand Prix de la Critique ACBD
  • Denoël

  • Paru le : 18/09/2014
Enrique Rodríguez Ramírez est professeur d'Histoire de l'Art à l'université du Pays Basque (où Altarriba a enseigné la littérature française).... > Lire la suite
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Enrique Rodríguez Ramírez est professeur d'Histoire de l'Art à l'université du Pays Basque (où Altarriba a enseigné la littérature française). A 53 ans, il est à l'apogée de sa carrière. Sur le point de devenir le chef de son champ de recherches, en proie aux rivalités académiques, il dirige un groupe d'étude intitulé : "Chair souffrante, la représentation du supplice dans la peinture occidentale." Bruegel, Grünewald, Goya, Rops, Dix, Grosz, Ensor, Munch, Bacon sont ses compagnons de rêverie et la matière de son travail.
Mais sa vraie passion, dans laquelle il s'investit à plein, est plus radicale : l'assassinat considéré comme un des Beaux-Arts.
  • Date de parution : 18/09/2014
  • Editeur : Denoël
  • Collection : Denoël Graphic
  • ISBN : 978-2-207-11688-3
  • EAN : 9782207116883
  • Format : Album
  • Présentation : Relié
  • Nb. de pages : 136 pages
  • Poids : 0.82 Kg
  • Dimensions : 21,5 cm × 27,8 cm × 1,5 cm
L'ACBD, l'Association des Critiques et journalistes de Bande Dessinée, vient de décerner le Grand Prix de la Critique ACBD 2015 à "Moi, assassin" d'Antonio Altarriba et Keko, édité chez Denoël Graphic. "Moi, assassin" est l'histoire cruelle et pathétique d'un professeur d'esthétique englué dans les rivalités académiques et devenu tueur en série pour appliquer ses théories radicales sur l'assassinat considéré comme l'un des beaux-arts.
Avec ce prix, l'ACBD consacre un roman graphique noir et rouge, un polar urbain amoral, qui brosse un portrait acide de l'Espagne contemporaine, notamment confrontée à la question basque, et porte une réflexion brillante sur la représentation de la beauté du monde. Il n'est pas surprenant que le scénariste espagnol Antonio Altarriba, 62 ans, soit aussi professeur de littérature française, essayiste, romancier et critique de bande dessinée.
Associé au dessinateur Keko, de son vrai nom José Antonio Godoy Cazorla, de dix ans son cadet, Altarriba incarne le renouveau d'une bande dessinée espagnole exigeante qui multiplie les coups d'éclat depuis une demi-douzaine d'années. Le précédent ouvrage d'Antonio Altarriba, "L'Art de voler" (dessin de Kim, éditions Denoël Graphic) avait obtenu en 2010 le Prix national de la bande dessinée du ministère de la culture espagnol.
Le Grand Prix de la Critique ACBD a pour ambition de "soutenir et mettre en valeur, dans un esprit de découverte, un livre de bande dessinée, publié en langue française, à forte exigence narrative et graphique, marquant par sa puissance, son originalité, la nouveauté de son propos ou des moyens que l'auteur y déploie." L'ACBD compte 84 journalistes et critiques qui parlent régulièrement de bande dessinée dans la presse régionale et nationale écrite, audiovisuelle et numérique.
Le Grand Prix de la Critique ACBD 2015 a été choisi parmi quelque 3 943 nouveaux titres publiés dans l'espace francophone européen (France, Belgique, Suisse) entre novembre 2013 et fin octobre 2014.
Universitaire, romancier et scénariste, Antonio Altarriba a été découvert en France grâce à L'Art de voler, où il raconte à travers le parcours déchirant de son père un siècle d'histoire espagnole. Ce roman graphique dessiné par Kim, paru en 2011 chez Denoël Graphic, a été salué par la critique et le public partout dans le monde. Altarriba travaille, toujours avec Kim, à un second volume, consacré cette fois au destin de sa mère, intitulé La Madre Manca.
KEKO : Sous ce pseudonyme se cache José Antonio Godoy, artiste madrilène qui fit ses premières armes dans la revue de la movida espagnole Madriz et dans Métal Hurlant. Se réclamant de Will Eisner et d'Alberto Breccia, ce maître du clair obscur a su retenir d'eux les leçons de concision, de noirceur et d'efficacité. Ses albums lui ont valu une série de prix majeurs en Espagne. En France, on le connaît pour Plein les yeux et La protectrice, inspiré d'Henry James, aux éditions de l'An 2.
Antonio Altarriba et  Keko - Moi, assassin.
Moi, assassin
22,00 €
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