Dans l'ultime au revoir que j'adresse à Paul Morand, je ne prétends pas arracher son masque et livrer son visage nu. Pendant longtemps il a joué à... > Lire la suite
Plus d'un million de livres disponibles
Retrait gratuit en magasin
Livraison à domicile sous 24h/48h* * si livre disponible en stock, livraison payante
12,70 €
Expédié sous 3 à 6 jours
ou
À retirer gratuitement en magasin U entre le 14 novembre et le 15 novembre
Dans l'ultime au revoir que j'adresse à Paul Morand, je ne prétends pas arracher son masque et livrer son visage nu. Pendant longtemps il a joué à cache-cache avec lui-même. Voyageur pressé, Morand la Vitesse, formule qui a fait florès, diplomate amer, mondain désabusé : où se trouve l'homme véritable ? Que voulait-il cacher ? Une faille secrète, une faiblesse de caractère que personne ne devait connaître, une blessure de l'âme dont il ignorait lui-même la nature ? Qui le saura ? L'écrivain n'existe que dans la conscience de celui qui le lit. Chacun le voit à sa manière personnelle, selon son désir.
Dans cet essai littéraire, Marcel Schneider témoigne de l'indéfectible amitié qui l'a lié à Paul Morand, du début des années 1950 à la mort de l'écrivain, en 1976.