Perrin Langda, écrivain compulsif, fait des poèmes qui s'inscrivent à la moindre occasion sur le premier support venu, carnet, ordinateur, tablette ou téléphone, et finissent éventuellement par s'assembler en recueils publiés çà et là. Adepte du vers court autant que du poème en prose, son souci de l'aspect visuel du poème l'a mené à se rapprocher de divers plasticiens.