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Pour la narratrice, le temps de la thérapie est derrière elle jusqu’à ce qu’un événement inexplicable survienne qui rend urgent de reprendre un «travail» sur elle-même. Intuitivement, elle sait qu’il est vain de poursuivre avec son ancien analyste et qu’il lui faut changer de méthode. C’est l’approche transgénérationnelle qui se présente. Un travail patient de construction de son arbre généalogique et de compréhension de ses fantômes psychiques commence, qui la conduit à prendre conscience de ses propres traumatismes. La psychogénéalogie s’allie alors à d’autres approches (psychophanie, EMDR, mémoire cellulaire, énergétique) pour guérir les traumas de la narratrice et ceux de ses ancêtres, et produire la résilience attendue. Ce texte est le récit à la première personne d’une «cure» psychogénéalogique.
Ce livre de développement personnel s’inscrit dans le sillon tracé en 1975 par Marie Cardinal et ses Mots pour le dire : il est le premier à raconter une «cure» psychogénéalogique. Ce récit écrit à la première personne raconte pas à pas la traque des fantômes qui hantent un arbre généalogique, entre sa construction, la compréhension de ses dynamiques et les différentes techniques employées pour faire remonter les mémoires ancestrales et produire la résilience espérée : la disparition d’angoisses tenaces et l’attraction de nouvelles situations plus heureuses. On peut appeler ça une guérison. Le texte personnel s’élargit pour chercher à comprendre ce qui se passe dans le processus. Des figures théoriques issues de la psychanalyse apparaissent : Sándor Ferenczi, ce disciple longtemps oublié de Freud qui, le premier, a pointé l’importance du traumatisme ; Maria Török et Nicolas Abraham qui ont théorisé l’existence d’émotions fantômes issues de nos ancêtres et transmises d’inconscient en inconscient ; Bruno Clavier et Serge Tisseron qui, parmi d’autres, les ont vulgarisées. Puis l’arbre se fait un ami et permet à l’auteure de prendre conscience de ses propres traumatismes refoulés. La psychogénéalogie s’allie alors avec des traitements comme l’EMDR et ses dérivés, le RITMO et le Brainspotting, mais aussi des approches basées sur le corps comme la mémoire cellulaire, le Reiki et l’énergétique. Il présente ainsi un panel assez large des thérapies brèves que propose notre époque. Ce livre est aussi un témoignage inspirant des liens qui se renouent et d’un ancrage retrouvé dans un territoire. Cette réappropriation de son histoire vient réparer les pertes culturelles nées de la Modernité et du XXe siècle. Le récit constitue également la suite du webdocumentaire La Renarde, réalisé par l’auteure en 2016, désormais visible en accès libre sur le site. L’ouvrage est préfacé par le psychiatre Emmanuel Contamin, auteur de l’ouvrage Guérir de son passé avec l’EMDR et des outils d’autosoin (Odile Jacob).