Dans les sociétés africaines traditionnelles, la terre a été longtemps un bien commun non marchand, disponible pour tous. Les différentes pénétrations... > Lire la suite
Plus d'un million de livres disponibles
Retrait gratuit en magasin
Livraison à domicile sous 24h/48h* * si livre disponible en stock, livraison payante
34,50 €
Expédié sous 3 à 6 jours
ou
À retirer gratuitement en magasin U entre le 9 octobre et le 11 octobre
Dans les sociétés africaines traditionnelles, la terre a été longtemps un bien commun non marchand, disponible pour tous. Les différentes pénétrations européennes (explorations, guerres, colonisation) au fil du temps en ont fait un actif économique à travers les législations qui ont introduit la notion d'appropriation privée des terres, notion jusqu'alors étrangère aux us et coutumes desdits pays. L'auteur nous promène dans ces évolutions par l'évocation des régimes fonciers de quelques pays africains au sud du Sahara, la plupart ayant été soumis à la domination étrangère à une période de leur histoire. L'auteur, comme avant lui de nombreuses organisations de défense de l'agriculture paysanne, pousse ensuite un cri d'alarme contre l'une des conséquences désastreuses de la mondialisation de l'économie : l'achat massif des terres dans les pays africains par des étrangers, phénomène semblable à une recolonisation.
Géomètre de formation et de profession, Bernard Puépi a travaillé comme fonctionnaire au Ministère de l'Urbanisme et de l'Habitat de 1970 à 1996. Il est membre de l'Ordre National des Géomètres du Cameroun.