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Ni vague rose, ni vague bleue. Le verdict des élections municipales de mars 2001 apparaît ambigu. Si la gauche a conquis (comme prévu ?) Paris et Lyon, la droite a remporté quelques victoires de prestige à Aix-en-Provence, Blois, Nîmes, Orléans, Rouen, Strasbourg...
En d'autres temps, la nationalisation du scrutin municipal permettait d'en dresser aisément un bilan politique. En 2001, au contraire, la " dégouvernementalisation " du scrutin conduit à privilégier une lecture par le bas des élections municipales.
Pour comprendre " le vote des villes ", vingt contributions consacrées à des lieux ont été rassemblées, en vue de mettre au jour les logiques auxquelles obéit le champ politique local et, surtout, de prendre la mesure du pouvoir majoral.
Au-delà des frontières académiques (les auteurs sont politistes, géographes ou juristes), l'ouvrage marie les approches : vingt regards différents sont offerts au lecteur, rappelant ainsi que les études électorales locales n'obéissent pas à un schéma unique. Le livre met aussi en évidence des ressorts du vote municipal
progression de l'abstention, impact de l'offre électorale et des campagnes sur les résultats, logiques socio-spatiales du vote, mécanique des reports de voix ou encore émergence d'un pouvoir métropolitain.
Ni vague rose ni vague bleue. Le verdict des élections municipales de mars 2001 apparaît ambigu. Les vingt contributions réunies dans cet ouvrage mettent en évidence les ressorts du vote municipal : progression de l'abstention, impact de l'offre...
Allocataire d'enseignement et de recherche à l'université Paris X (en 1992)Maître de conférences de droit public à l'Université de Paris 1 (en 2003) ---- Annie Laurent est directrice de recherche CNRS au Ceraps.