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Ce n'est pas tous les jours qu'un officier français déserte avec un camion d'armes pour "passer à l'ennemi" ! Le 4 avril 1956 pourtant, en pleine guerre d'Algérie, Henri Maillot, jeune aspirant du Train et responsable du Parti communiste algérien disparaissait avec les centaines d'armes qu'il convoyait. Deux mois plus tard, dans les monts de l' Ouarsenis, au terme d'un bref accrochage avec une "bande rebelle", l'armée française relevait son cadavre. A ses côtés, notamment, celui d'un autre pied-noir, Maurice Laban, ancien des Brigades Internationales et de la résistance anti-vichyste. Quarante années ont passé et l'affaire, qui fit en son temps l'effet d'un coup de tonnerre, garde de ses brûlures et de ses mystères.
Le Maquis rouge est l'histoire de cet enlèvement d'armes et de la seule guérilla communiste active qu'ait connu l'Algérie en guerre. C'est aussi, un peu, la chronique méconnue des Combattants de la Libération, la branche militaire du PCA qui allait bientôt se fondre, non sans tiraillements, dans le FLN-ALN.