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La révolution asturienne a échoué. Les rebelles déchargent leurs dernières cartouches et s'enfuient, tandis que les troupes du général López Ochoa et les réguliers de Yagu¨e occupent les villes et villages. Coordonnée par Franco de Madrid, la répression commence ; Tristán Valdivia, le fils du marquis, propriétaire des mines, tué dans l'épisode précédent, unit ici son destin aux perdants de l'Histoire, et il s'enfuit vers les montagnes, à la recherche de son destin. Ce troisième volume du Chant des Asturies confirme que nous sommes face à des incontournables romans graphiques espagnols. Avec cette oeuvre ambitieuse, Alfonso Zapico regarde le collectif et voit l'individuel. Il fait exploser des obus, et dynamite la médiocrité guerrière, pour ouvrir la voie à la philosophie et à la littérature. Il croit en l'être humain, quel que soit l'uniforme qu'il porte, comme source de vertu et d'espoir. Le reste est conflit, confrontation, abstraction.
La révolution asturienne a échoué. Les rebelles déchargent leurs dernières cartouches et s'enfuient, tandis que les troupes du général López Ochoa et les réguliers de Yagu¨e occupent les villes et villages. Coordonnée par Franco de Madrid, la répression commence ; Tristán Valdivia, le fils du marquis, propriétaire des mines, tué dans l'épisode précédent, unit ici son destin aux perdants de l'Histoire, et il s'enfuit vers les montagnes, à la recherche de son destin. Ce troisième volume du Chant des Asturies confirme que nous sommes face à des incontournables romans graphiques espagnols. Avec cette oeuvre ambitieuse, Alfonso Zapico regarde le collectif et voit l'individuel. Il fait exploser des obus, et dynamite la médiocrité guerrière, pour ouvrir la voie à la philosophie et à la littérature. Il croit en l'être humain, quel que soit l'uniforme qu'il porte, comme source de vertu et d'espoir. Le reste est conflit, confrontation, abstraction.