De 1988 à 1990, Caroline Caccavale et Joseph Césarini partagent avec le cinéaste Renaud Victor, de jour comme de nuit le quotidien de la prison des Baumettes. Cette rencontre avec le cinéma et avec la prison, sera l'acte fondateur de l'expérience singulière et au long cours qu'ils engageront en prison. Ils crées en 1997 avec Lieux Fictifs et le soutien de l'administration pénitentiaire un studio de cinéma permanent et développent des actions de formation, de création et de diffusion du cinéma.
En 2018, à la fermeture de Baumettes historiques, ils créent en partenariat avec l'administration pénitentiaire le studio image et mouvement dans la structure d'accompagnement à la sortie - SAS des Baumettes.