Que peut-on dire, que peut-on faire sous la tyrannie ? Il est sénateur et avocat, il s'appelle Publius Cornelius, il a pour surnom Tacite. Autour de... > Lire la suite
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Que peut-on dire, que peut-on faire sous la tyrannie ? Il est sénateur et avocat, il s'appelle Publius Cornelius, il a pour surnom Tacite. Autour de lui les gens tombent. Il n'est pas encore écrivain mais seule la littérature pourrait être à la hauteur des événements qu'il traverse. Sa femme, Lucretia, décide de se rendre au palais impérial pour plaider la clémence auprès d'un souverain qui tue comme on éternue. La scène est à Rome, au premier siècle, sous le règne de Domitien.
"Les grosses fautes ne sont pas tragiques, elles méritent leur châtiment ; les fautes tragiques sont de petites fautes, certains sénateurs en font, ils croient qu'elles sont sans conséquence, ils ne voient pas qu'elles ouvrent la porte à la tragédie". Rome, ier siècle, sous le règne de Domitien. Que peut-on dire, que peut-on faire sous la tyrannie ? Publius Cornelius, surnommé Tacite, est sénateur et avocat. Autour de lui les gens tombent. Il court lui aussi le risque d'être accusé du crime de lèse-majesté. Sa femme, Lucretia, décide de se rendre au palais impérial pour plaider la clémence d'un souverain qui tue comme on éternue. Face au tyran, le temps d'une nuit fatidique, chaque mot compte.