La falsification du génocide arménien ne doit plus passer ! - Lettre ouverte à Raymond Kevorkian, directeur de recherche et consevateur de la Bibliothèque Marie Nubar (Broché)
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La rédaction de cette "Lettre ouverte" a été décidée à la suite de l'interview donnée par Raymond Kevorkian au magazine "Les Nouvelles d'Arménie" d'avril 2005 consacré au génocide arménien perpétré par les Jeunes-Turcs en 1915-1918. L'auteur a jugé que la présentation et la qualification des faits et des assassins du Comité Union et Progrès, relativisant la monstruosité de ceux-ci et minorant gravement le bilan des vies humaines supprimées, apportaient de l'eau au moulin des falsificateurs de 1 Histoire du premier génocide des temps modernes et portaient gravement atteinte à 1 innocence des victimes. Cela, en dépit d'innombrables témoignages d'hommes d'une probité et d'une honnêteté intellectuelle exemplaires, parmi lesquels des Allemands, alliés militaires des Jeunes-Turcs, dont les jugements sur ces derniers sont aussi sévères qu'impartiaux. Motivée par la recherche du sens des choses, cette "Lettre ouverte" au ton polémique veut démontrer au contraire, par le recoupement et l'analyse de témoignages allemands, français, turcs, arméniens peu connus du public, que loin d'être animés par un quelconque idéal noble ou un réformisme vantés par des historiens qui observent systématiquement l'Histoire par le petit bout de la lorgnette, les Jeunes-Turcs n'ambitionnaient depuis le début qu'à devenir califes à la place du calife et à anéantir à la première occasion le peuple arménien pour s'en approprier tous les biens, en attendant d'exterminer les Grecs, dont plus de 400.000 seront massacrés en 1914-18, sans se soucier moindrement de la misère noire dans laquelle seraient plongés les Turcs eux-mêmes, transformés pour la circonstance les uns en chair à canon, les autres en massacreurs dociles. Sa démarche vise aussi à prouver que si "négationnisme" du génocide arménien il y a, il est le fait d'une poignée d'historiens et d'universitaires de mauvaise foi mais influents, qui profitent du manque de culture historique flagrant des médias pour occulter - adhésion de la Turquie kémaliste à l'Union Européenne oblige, - l'ascendance jeune-turque des kémalistes dont la contribution, dès les années 1920, à la revanche nazie est patente.
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