Philippe Soreil. Reporter, cinéaste animalier, producteur et présentateur d'émissions pour la télévision, il a traversé la planète à la rencontre des hommes et de la nature. Témoin des beautés que la terre accepte de dévoiler devant ses yeux ou devant ses caméras, il voyage dans la vie comme on feuillette un livre d'images avec des histoires enrichies des parfums et des sons de la réalité. Pour lui, l'important c'est de communiquer ses passions, de partager ses convictions, de transmettre ses réflexions et ses sentiments profonds, avec la simplicité de ceux qui arpentent la terre de ses origines ou de ceux aux côtés de qui il aime s'asseoir pour tenter de comprendre l'autre bout du monde. Ce livre-documentaire, sérieusement alimenté des informations réunies par les spécialistes dont il s'est entouré, il l'a d'abord voulu accessible à tous. Après " Le Nouvel Age du Loup " et " Le Dauphin, l'Homme et la Mer ", voici " L'Ours, Grandeur Nature ", le troisième livre-nature auquel il collabore. Bernard De Wetter. Naturaliste de terrain fasciné par les merveilles et les mystères du monde, au service de la conservation de la nature, passionné pour la faune sauvage et les grands espaces de liberté, Bernard De Wetter a parcouru les quatre coins du monde. L'écriture demeure son mode d'expression privilégié. Il l'utilise pour entraîner les autres dans ses expériences et ses découvertes. Il a réalisé ou contribué à la réalisation de nombreuses publications, notamment sur les primates, les tortues marines, les cétacés, ou encore les loups. Pour les besoins de cet ouvrage, il s'est lancé sur la trace des ours dans divers pays d'Europe (France, Espagne, Italie, Autriche, Roumanie, Bulgarie) et s'est entretenu avec les spécialistes impliqués dans les actions de protection de l'espèce sur tout le continent. Hans Westerling. Délicat mélange de Viking et de corsaire, héritier des grands aventuriers marins, il ne cesse de vérifier la solidité de la Terre à chacun des pas qu'il pose pour y avancer. Passionné des terres froides autant que des déserts suffocants, de la nature et de l'ésotérisme, il dégaine ses téléobjectifs pour illustrer, avec ses armes à lui, ses convictions et imprimer son tempérament. Il a bravé les interdits avec les grandes associations de conservation de la planète pour s'interposer entre le Bien et le Mal. Pendant plusieurs années, il a campé un peu partout en Europe devant les tanières des ours autant que dans leur milieu naturel, avec la patience des plus obstinés. Il est ainsi parvenu à se faire oublier d'eux pour fixer sur la pellicule, dans leur majestueuse vérité, ces grands animaux que d'autres chassent encore avec leurs fusils ou avec les pollutions de notre civilisation.