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Les classes modestes et moyennes se sentent humiliées, méprisées, maltraitées. Le libéralisme, lui, plutôt que des guerriers, veut des travailleurs, des cerfs, des esclaves ; oui, les milliardaires en ont assez de ces ouvriers qui revendiquent, comme le fait aujourd'hui la SNCF, ce sera dorénavant : "marche ou crève", salaud de pauvres ! L'auteur nous explique dans "l'homo imbécilus", comment la cupidité, qui était il n'y a guère, qu'un vilain défaut, est devenu, par le truchement du profit "à tout prix", l'élément déclencheur du cataclysme apocalyptique qui nous guette, et la fin de notre civilisation, par le non-respect de la biodiversité, l'explosion du bouleversement climatique, et la dissolution de notre société par les mensonges constants de la télévision et l'humanité "virtuelle", distillée par les écrans de la technologie meurtrière de la "Silicon valleté". La misère est pour moi comme une sauvegarde, Du mal d'indifférence toujours elle me garde, Cette grille de fer et ses puissants barreaux, Me protège sans fin, d'être au rang des bourreaux.