Biographie de Lucie Mougenot
STEPHANE BRAU-ANTONY est professeur des universités en sciences de l'éducation et de la formation à l'université de Reims Champagne-Ardenne. Il est également professeur agrégé d'EPS. Il conduit des recherches sur les pratiques didactiques et évaluatives des enseignants d'EPS et a publié des articles et ouvrages sur ces sujets. NICOLAS CHEVAILLER est professeur d'EPS au lycée professionnel Michelet de Nantes.
Il est également formateur en EPS, membre du Groupe académique d'innovation pédagogique (GAIP) de Nantes et du groupe Plaisir de l'Association pour l'enseignement de l'éducation physique et sportive (AE-EPS), après avoir été formateur pour l'éducation prioritaire. Il est l'auteur d'articles traitant de la problématique de l'engagement des élèves de lycée professionnel dans les apprentissages. JULIEN MONIOTTE est maître de conférences en STAPS à l'université de Picardie Jules Verne.
Il mène des recherches sur le climat motivationnel, le jugement professoral en EPS, en les questionnant à partir des concepts liés à l'étude du genre. Il a coordonné l'ouvrage Réussir l'écrit 2 du CAPEPS (Atlande, 2017). LUCIE MOUGENOT est maîtresse de conférences en sciences de l'éducation et de la formation à l'université de Picardie Jules Verne, au sein du Centre amiénois de recherche en éducation et formation (CAREF).
Elle est également professeure agrégée d'EPS. Elle mène des recherches sur les représentations des enseignants vis-à-vis de l'évaluation scolaire et les effets des pratiques évaluatives sur les conduites des élèves. Elle a publié de nombreux articles et ouvrages sur ce sujet. RAFFI NAKAS est professeur agrégé d'EPS dans un lycée lyonnais. Docteur en sciences de l'éducation, une partie de ses publications porte sur la question des pratiques pédagogiques ressenties comme stressantes par les enseignants et les élèves.
PASCALINE TISSOT est professeure d'EPS et docteure en sciences de l'éducation et de la formation. Elle est actuellement formatrice à l'INSPE de l'académie de Versailles. A l'intersection des dimensions subjective, sociale et institutionnelle, sa thèse porte sur le passage adolescent dans l'espace scolaire. Elle met en perspective les remaniements psychiques liés à l'advenue d'un corps pubère et la capacité des professionnels de l'éducation à accompagner les adolescents dans leurs choix d'orientation.