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La première partie - ; l'" éthique chrétienne en situation " - ; commence par énoncer l'originaité de l'éthique chrétienne animée par la foi, l'amour et l'espéreance, mais en situation c'est-à-dire en relation avec d'autres approches de l'éthique : compétences techniques, diversité historique et sociologique, grands systèmes moraux. En effet, l'éthique chrétienne, pas plus que la dogmatique, ne peut se développer sur le seul mode de la conviction intime, de l'attestation unilatérale, sans dialogue avec des pensées différentes. Pour des raisons à la fois épistémologiques et pratiques (c'est-à-dire pour la compréhension effective de ce que dit l'éthique chrétienne), cette introduction est nécessaire à la salubrité morale des communautés chrétiennes. La deuxième partie - ; les " catégories de la vie morale " - ; énumère et développe les grandes dimensions qui aident à penser la vie éthique chrétienne : la liberté dans son rapport avec la grâce, la conscience confrontée à la loi, l'alliance avec Dieu (avec ses ruptures et ses restaurations), la précarité de la vie morale dans la durée, la tension entre le réalisme quotidien et le dynamisme eschatologique. La troisième partie - ; les " lieux de l'éthique " - ; envisage les différents terrains où s'effectue la foi. Ici se déploient les réponses éthiques chrétiennes face aux grands enjeux de toute existence humaine : la vie et la mort, la santé, la sexualité, l'économie, la politique, le droit et la culture. Et la conclusion invite à inscrire tout cet ensemble dans la perspective du bonheur, ou plutôt des béatitudes. Celles-ci s'adressent aux femmes et aux hommes affrontés à l'injustifiable souffrance. C'est dire que cette éthique se veut théologique et qu'il convenait, en terminant, de situer l'accomplissement de la vie morale en vie spirituelle et mystique.