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?Les fascicules de cette collection, rédigés conjointement par des chercheurs et des usagers, offrent une nouvelle approche de la réforme de l'orthographe française. Chacun d'eux est consacré à un point particulier, reconnu comme source d'erreurs fréquentes, et donne lieu à une règle générale, fondée sur des études approfondies, mais exprimée en termes simples afin d'être facilement comprise, mémorisée et appliquée. Les lettres grecques sont un sujet de crispation : pour les uns, elles sont une part essentielle du patrimoine de la langue et les supprimer serait couper le français de ses racines ; pour les autres, elles sont une complication inutile comme le prouve leur abandon complet par les autres langues romanes — voyez par exemple fr. orthographe, cat. ortografia, esp. ortografía, gal. ortografía, ital. ortografia, occit. ortografia, port. ortografia, rouet. ortografie. Le propos n'est pas pas ici de prendre parti pour le maintien des lettres grecques et similaires ou en faveur de leur suppression. Quelle que soit la position retenue, les arguments avancés par les uns et les autres sont le plus souvent empreints d'une forte subjectivité. Comment pourrait-il en être autrement aussi longtemps que l'on n'a pas procédé à une étude méticuleuse de l'effet qu'aurait la suppression de ces lettres sur les graphies des mots ? Présenter une telle étude est la raison d'être de ce fascicule.