Professeure de français à l'université Massey (Nouvelle-Zélande), France Grenaudier-Klijn a consacré sa thèse de doctorat à l'oeuvre de Marcelle Tinayre, sur laquelle elle continue à publier régulièrement. Elle s'intéresse aussi à l'écriture post-Shoah, à l'oeuvre de Patrick Modiano et à la culture populaire contemporaine française. Elle est également traductrice de textes littéraires et universitaires.
Elisabeth-Christine Muelsch est professeure de français à Angelo State University au Texas (Etats-Unis). Elle s'intéresse principalement aux relations entre femmes et institutions durant la Monarchie de juillet et la Belle Epoque. Ses recherches portent également sur la représentation de la lectrice dans la littérature du XIXe siècle et dans le cinéma français. Elle publie régulièrement et fait partie du comité de lecture de la revue Women in French Studies.
Jean Anderson enseigne la langue et la littérature françaises à l'université Victoria de Wellington (Nouvelle-Zélande) où elle a fondé le Centre néo-zélandais de traduction littéraire. S'étant intéressée d'abord à Jarry et à Maupassant, elle a ensuite découvert Rachilde, Georges de Peyrebrune et, plus récemment, Thérèse Bentzon. Elle aime à explorer la tension qui existe souvent dans l'écriture des femmes de la fin duXIXe siècle entre féminisme et valeurs conservatrices.
Nicholas White enseigne à l'université de Cambridge (Royaume-Uni). Auteur de The Family in Crisis in Late Nineteenth-Century French Fiction (1999), il a dirigé trois ouvrages collectifs : Scarlet Letters : Fictions of Adultery from Antiquity to the 1990s (1997), Currencies : Fiscal Fortunes and Cultural Capital in Nineteenth-Century France (2005), After Intimacy : The Culture of Divorce in the West since 1789 (2007).
Il est également le co-rédacteur de Dix-Neuf, la revue de la Society of Dix-Neuviémistes.