Lire Clémens c'est s'isoler dans les mots et les images construits avec lenteur et réflexion, sans hâte d'en finir. Mais, parfois, le texte doit finir. Alors, la poésie est là, écorchure, elle respire la peau et l'absence, la voix et l'étourdissement. Elle se panse avec douceur, sans hargne ni regret. Comme écoutant un chant funèbre sublime et narcotique on se laisse porter par cette beauté.