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L'inspecteur Dieuswalwe Azémar, alcoolique impénitent, ne pourra conserver son poste dans la police qu'à la seule condition de se soumettre à une cure de désintoxication. Hanté dans ses cauchemars par les truands de la ville, Azémar reçoit la visite d'une Brésilienne, Amanda Racelba, prête à tout pour l'assassiner afin de venger son père, ancien général des Nations unies en Haïti. Les preuves sont accablantes même quand l'enquête officielle avait conclu au suicide du général. L'inspecteur Dieuswalwe Azémar ne se rappelle pas avoir tué le général. Il s'engage alors dans une lutte sans merci pour élucider les faits. Ses jours sont comptés. Saura-t-il retrouver ses droits, sa voix et sa dignité dans ce pays, otage des gangs et des Nations unies où le bien et le mal se ressemblent étrangement ? "Cures et châtiments" finit avec brio la trilogie des polars vaudou de Gary Victor. Pour l'auteur, Dieuswalwe Azémar est un personnage incontournable. Il me ressemble avec sa colère, son impuissance et son dégoût de la corruption. La souffrance de ce personnage est la mienne. Quand on regarde de près le polar, les sujets ne devraient pas manquer avec tout ce qui se passe en Haïti. La course à l'argent facile, les lois que personne ne veut respecter, le chômage qui crée misère et désespoir. Le tout sur fond de douloureux traumatisme dû à ce décalage entre la réalité et l'imaginaire. Le soro est la boisson des oubliés, des laissés-pour-compte. On le boit pour tempérer la misère et l'angoisse. Pour donner une couleur au brouillard.