Une parabole humoristique au ton polémique qui dépeint les déconvenues du créateur face à la nécessité matérielle et dénonce la bourgeoisie littéraire.... > Lire la suite
Plus d'un million de livres disponibles
Retrait gratuit en magasin
Livraison à domicile sous 24h/48h* * si livre disponible en stock, livraison payante
7,00 €
Expédié sous 3 à 6 jours
ou
À retirer gratuitement en magasin U entre le 9 octobre et le 11 octobre
Une parabole humoristique au ton polémique qui dépeint les déconvenues du créateur face à la nécessité matérielle et dénonce la bourgeoisie littéraire. Paru initialement en 1845 dans l'anonymat, cette anecdote relate le rapport de Balzac avec l'argent dans le milieu littéraire du XIXe siècle, ainsi que le regard du poète qui se fait tour à tour tendre, fasciné et répugné par la misère.
"L'anecdote suivante m'a été contée avec prières de n'en parler à personne ; c'est pour cela que je veux la raconter à tout le monde". Baudelaire "Lorsque j'étais enfant, mon père, homme d'affaires qui avait pour écrivains favoris Balzac et Baudelaire, me récitait souvent des vers de ce dernier ; il me disait aussi : "Les capitalistes sont les bienfaiteurs de l'humanité. " Quand il se ruina, en 1972, j'avais sept ans. Il est demeuré fidèle à Baudelaire et au capitalisme toute sa vie ; j'ai pour ma part plus d'estime pour l'un que pour l'autre. C'est que Baudelaire est une valeur sûre". Thomas Clerc