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On connaît bien le Stéfan poète et le Stéfan nouvelliste ; on connaît moins le critique. Ses Chroniques catoniques ont quelque chose d'offensif, de nécessaire, de salutaire même. Comme l'indique le titre, ces notes et études critiques ont la véhémence du grand Romain Caton qui exhortait à détruire Carthage. Il ne s'agit pas, pour Jude Stéfan, de détruire autre chose que des idées reçues (sur la littérature, la poésie, l'art) tout en affirmant, commentant, louant ce qu'il y a de plus neuf et de réellement moderne dans la littérature. Qu'il relise Sartre, qu'il commente des ouvrages et des auteurs singuliers (Perros, Derrida, Flaubert, Svevo, Serres, Hardy, etc.), qu'il s'interroge sur la nouvelle ou, dans la deuxième partie de ce livre, sur les questions, les impasses et les possibilités de la poésie contemporaine, sur l'avant-garde, sur la question du sens, Jude Stéfan travaille toujours en écrivain et nous prouve, une fois encore, que seuls les écrivains sont les meilleurs critiques.