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Si vous ne vous êtes jamais trompé, n'ouvrez pas ce livre ! Vous seriez déçu d'apprendre que vous avez manqué l'expérience la plus fondamentale de votre vie. "Si je me trompe, c'est bien parce que je suis persuadé d'avoir raison" : Kathryn Schulz part de ce paradoxe pour traquer avec humour l'erreur dans toutes les circonstances de la vie – illusions, croyances, théories, passions... Elle démontre que la propension à se tromper est une condition de la pensée, indispensable à l'avancée des connaissances. Contre toute attente, l'erreur est même indissociable de nos qualités les plus précieuses : l'empathie, l'optimisme, l'imagination, la confiance, le courage. En bref, l'erreur nous rend meilleur. Mais comment se fait-il que nous ayons tant de mal à admettre nos erreurs ? Jusqu'où pouvons-nous considérer nos certitudes comme fiables ? Quel bénéfice y a-t-il à reconnaître que nous avons eu tort ? Pourquoi est-il inévitable et profitable de se tromper ? Kathryn Schulz nous entraîne dans une enquête au long cours, où les relations humaines et les faits divers ont autant leur place que les événements historiques. On y rencontre aussi Platon, saint Augustin, Descartes, Shakespeare, Freud, Wittgenstein, ou encore Molière, Proust, Coetzee, Philip Roth... Une analyse décapante de la nature de nos erreurs et de toutes leurs implications. Au mieux, avoir tort vous irritait ; au pire, c'était un cauchemar. Désormais, vous saurez qu'il est bon d'être faillible, que c'est même votre génie !
Kathryn Schulz, journaliste, publie dans les grands médias américains : le New York Times Magazine, Rolling Stone, Nation, Boston Globe et le blog Freakonomics.