Christophe Metroz est entré à 20 ans chez PSA. Il y a travaillé pendant 14 ans. A l'été 2011, les rumeurs de fermeture de l'usine le décide à tenir à nouveau son journal de bord. Il n'est pas syndiqué, il n'est pas marié, il n'est pas journaliste, il n'est pas sociologue, mais il a une furieuse envie de se battre et de raconter en totale liberté ce conflit qu'il a vécu en première ligne.