Jean-Pierre réalise un autoportrait sage. Il pose comme un regard sur le monde. Mais aussi vibrations intimes. Ce n'est pas qu'un regard scrutateur.... > Lire la suite
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Jean-Pierre réalise un autoportrait sage. Il pose comme un regard sur le monde. Mais aussi vibrations intimes. Ce n'est pas qu'un regard scrutateur. C'est un regard en alerte et méditatif. Un regard soucieux. Le monde fait souci, donne du souci. Portrait d'ombre et de lumière où la lumière importe plus que l'ombre, même si elle n'occupe qu'un tiers de l'espace. Ce n'est pas l'ombre qui aura raison car la lumière provient d'une double source, extérieure et intérieure. La détermination à mettre en lumière est forte, insistante. Le monde n'échappera pas au regard du peintre. Il livrera sa vérité d'ombres et de lumières, dualité de la vie et de la mort, inconciliables, inséparables. Chérifa se voit et se présente comme ébouriffée. Explosion de couleurs, flou des formes, regard halluciné, bouche déformée : c'est l'autoportrait d'une artiste traversée par des pulsions de vie irrépressibles, par des énergies débordantes, une artiste qui laisse s'exprimer, ne cherche pas à contrôler, à maîtriser ce qui monte et qui est échevelé, une folie expressive, colorée. Elle regarde ailleurs car c'est son monde intérieur, son daïmon (son génie personnel au sens socratique ou au sens du duende dans le cante flamenco) qu'elle tente de saisir, un instantané de soi comme inspiration, comme tension entre intention et attention.
Jean-Pierre réalise un autoportrait sage. Il pose comme un regard sur le monde. Mais aussi vibrations intimes. Ce n'est pas qu'un regard scrutateur. C'est un regard en alerte et méditatif. Un regard soucieux. Le monde fait souci, donne du souci. Portrait d'ombre et de lumière où la lumière importe plus que l'ombre, même si elle n'occupe qu'un tiers de l'espace. Ce n'est pas l'ombre qui aura raison car la lumière provient d'une double source, extérieure et intérieure. La détermination à mettre en lumière est forte, insistante. Le monde n'échappera pas au regard du peintre. Il livrera sa vérité d'ombres et de lumières, dualité de la vie et de la mort, inconciliables, inséparables. Chérifa se voit et se présente comme ébouriffée. Explosion de couleurs, flou des formes, regard halluciné, bouche déformée : c'est l'autoportrait d'une artiste traversée par des pulsions de vie irrépressibles, par des énergies débordantes, une artiste qui laisse s'exprimer, ne cherche pas à contrôler, à maîtriser ce qui monte et qui est échevelé, une folie expressive, colorée. Elle regarde ailleurs car c'est son monde intérieur, son daïmon (son génie personnel au sens socratique ou au sens du duende dans le cante flamenco) qu'elle tente de saisir, un instantané de soi comme inspiration, comme tension entre intention et attention.
Aux couleurs de la vie - Le parcours du couple d'artistes Chérifa et Jean-Pierre Grosse est également présent dans les rayons