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En Algérie, les institutions officielles consacrent peu d'études à l'art et à la culture. Elles récoltent peu d'informations, et quand elles existent, elles sont peu chiffrées, analysées, et inaccessibles comme ressources à la communauté des artistes, universitaires, étudiants et des écoles d'art. Depuis quelques années, un regain d'intérêt est manifeste chez de jeunes artistes, issus des formations arts visuels et titulaires de post-graduation, et chez des chercheurs universitaires, pour la production artistique. Cette dynamique est soutenue par le développement, timide, de départements spécialisés de recherche en art d'institutions universitaires. En l'état actuel de la production d'information sur les arts visuels, de la volonté et de la compétence à en produire, de la capacité à le faire, de l'absence de banques de données, les chercheurs doivent être accompagnés, pour éviter le découragement. Nous construisons donc peu d'outils de savoir, d'informations et d'analyse. C'est une menace sournoise qui corrode le projet culturel. Mon travail s'inscrit dans cette volonté de donner de l'information précise, et de dégager une zone de partenariat, de confort, avec la nouvelle génération de chercheurs universitaires.
Agé de 63, Mansour Abrous est l'auteur de nombreux ouvrages sur l'histoire des arts visuels en Algérie : dictionnaires bibliographiques, répertoires bibliographiques et annuaires de l'activité artistique.