Avec Agadamgorodok, Denis Lapière poursuit, avec un talent qui s'affirme d'œuvre en œuvre, son exploration des âmes perdues dans un monde en rupture, que seul l'amour (ou la poésie, c'est la même chose) peut sauver de l'ennui et de la déchéance.
Avec Agadamgorodok, Pierre Bailly, par son trait, ses couleurs et sa narration graphique d'une grande justesse, transfigure lieux et personnages dans l'évidence d'une belle et généreuse humanité.