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Après l'échec allemand du Friedensturm, en Champagne, le 15 juillet 1918, les Français contre-attaquent le 18 juillet contre le saillant formé par les Allemands dans l'Aisne et la Marne. Le 8 août, c'est au tour des Britanniques et des Français d'attaquer devant Amiens et de provoquer un effondrement de la première ligne allemande qui surprend tout le monde, à commencer par Ludendorff lui-même. Le front n'est pourtant pas rompu et l'avance alliée piétine. Foch, le général en chef des armées alliées, prépare alors une offensive généralisée qui débute à la fin du mois de septembre et remporte des succès sans précédent sur le front britannique, tandis qu'a l'est, Français et Américains progressent nettement moins. L'avance anglaise produit un repli généralisé des troupes allemandes et, dès le 6 octobre, les Allemands proposent d'entamer des pourparlers pour un armistice. A partir du 15 octobre, les offensives alliées redoublent d'intensité. Nulle part les Allemands ne sont en mesure de s'opposer à la pression alliée et ils finissent par accepter un armistice aux clauses très dures parce que la révolution a éclaté en Allemagne et que seule l'armée peut 'être en mesure de rétablir l'ordre et d'éviter une révolution de type bolchevik.